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040 |aCaOODSP|bfre
043 |an-cn---
0861 |aM183-2/7729F-PDF
1001 |aAznar, J. C.
24510|aÉchantillonnage des gaz de sol dans la région de St. Édouard, sud du Québec, Canada |h[ressource électronique] / |c[par] J.C. Aznar et M. Malo.
260 |aOttawa : |bRessources naturelles Canada, |c2014.
300 |a63 p. : |bfigures, tableaux, cartes.
4901 |aDossier public (Commission géologique du Canada) ; |v7729
504 |aComprend des références bibliographiques.
520 |aAu cours de l'automne 2013, les concentrations en gaz majeurs (CO2, méthane, éthane, propane, butane) et les rapports isotopiques 13C/12C du CO2 ont été mesurés sur 247 sites. Un gaz rare (le radon (Rn)) a été échantillonné sur 155 sites. Les sites étaient disposés en transects, le long des routes. Ce dispositif a permis une approche exploratoire des patrons spatiaux de la concentration des gaz de sol dans la région de Saint-Édouard, dans la région de Lotbinière, au Québec. Les résultats obtenus révèlent que des valeurs anomaliques (au seuil du 95ème percentile) sont localisées dans des secteurs particuliers, ce qui exclut l'hypothèse d'une présence aléatoire des anomalies. Quantitativement, les concentrations en gaz majeurs restent faibles (< 1 ppm), excepté pour le CO2 et le méthane. Le méthane atteint même localement des taux très importants (concentration maximale supérieure à 31%) supérieurs au seuil d'inflammabilité. Les analyses de facteurs confondants révèlent que la distribution des anomalies ne peut pas être expliquée par les variabilités de texture des sols, d'occupation du sol, de température et d'humidité des sols, de la distance entre les sites d'échantillonnage et les routes ou par la période d'échantillonnage. Par conséquent, deux hypothèses peuvent être envisagées pour expliquer l'origine des gaz observés dans les sols : une origine superficielle, reliée aux formations géologiques situées près de la surface, et une origine profonde, reliée à la présence de failles et de fractures. L'observation visuelle des cartes de la présence des anomalies pour les différentes espèces de gaz semblent confirmer la seconde hypothèse. Les secteurs les plus anomaliques se retrouveraient à proximité de la faille de Yamaska et des écailles de chevauchement plus au sud. Les gaz rencontrés dans les sols auraient alors une origine profonde et seraient plus abondants à l'aplomb des discontinuités géologiques. Ce travail, largement exploratoire ne permet pas de trancher avec certitude cependant. Des résultats (données de gaz complémentaires, localisation des discontinuités avec des données sismiques de surface) et analyses complémentaires seront pour cela nécessaires.
69207|2gccst|aCombustible
69207|2gccst|aEau souterraine
7001 |aMalo, M.
7101 |aCanada. |bRessources naturelles Canada.
7102 |aCommission géologique du Canada.
830#0|aDossier public (Commission géologique du Canada)|v7729|w(CaOODSP)9.504348
85640|qPDF|s7.69 Mo|uhttps://publications.gc.ca/collections/collection_2016/rncan-nrcan/M183-2-7729-fra.pdf