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043 |an-cn---
0861 |aCS89-653/11-2016F-PDF
1001 |aKumar, Mohan B.
24500|aPensées suicidaires au cours de l'année précédente parmi les Premières Nations vivant hors réserve, les Métis et les Inuits âgés de 18 à 25 ans |h[ressource électronique] : |bprévalence et caractéristiques connexes / |cpar Mohan B. Kumar et Amy Nahwegahbow.
260 |a[Ottawa] : |bStatistique Canada, |cc2016.
300 |a32 p.
500 |aPubl. aussi en anglais sous le titre : Past-year suicidal thoughts among off-reserve First Nations, Métis and Inuit adults aged 18 to 25: prevalence and associated characteristics.
500 |a« Date de diffusion : le 13 octobre 2016. »
504 |aComprend des références bibliographiques.
5203 |a« Depuis plusieurs décennies, les chercheurs font état de hauts taux de suicide chez les jeunes autochtones, et ces taux sont beaucoup plus élevés que ceux observés chez les jeunes non autochtones. À l’aide des données de l’Enquête auprès des peuples autochtones de 2012, le présent article fournit des estimations de la prévalence des pensées suicidaires chez les adultes des Premières Nations vivant hors réserve, métis et inuits âgés de 18 à 25 ans. On y examine les associations entre les pensées suicidaires au cours de l’année précédente et les expériences vécues durant l’enfance et les caractéristiques familiales; les troubles mentaux ainsi que les facteurs liés à la personnalité, de même que les caractéristiques sociodémographiques liées à des pensées suicidaires dans d’autres populations. Parmi les Premières Nations, les Métis et les Inuits, environ 1 jeune adulte sur 20 et 1 jeune adulte sur 10 a indiqué avoir eu des idées suicidaires au cours des 12 derniers mois, et près de 1 personne sur 5 à 1 sur 4 a indiqué avoir déjà eu des idées suicidaires au cours de sa vie. La prévalence des idées suicidaires était deux fois supérieure chez les jeunes adultes autochtones vivant hors réserve que chez les jeunes adultes non autochtones. Dans les trois groupes autochtones visés par l’enquête, les jeunes adultes ayant indiqué avoir des troubles de l’humeur et/ou d’anxiété, avoir consommé de la drogue ou éprouver un sentiment de désespoir étaient plus susceptibles que ceux n’ayant pas déclaré ce type de renseignements d’avoir eu des idées suicidaires au cours de la dernière année. Toutefois, les jeunes adultes ayant indiqué avoir un niveau élevé d’estime de soi étaient moins susceptibles que ceux ayant un faible niveau d’estime de soi d’avoir des idées suicidaires. D’autres facteurs sont associés aux idées suicidaires chez certains groupes de jeunes adultes, mais pas dans tous les groupes. La détermination des facteurs de risque de pensées suicidaires dans ces populations viendra s’ajouter aux ouvrages déjà publiés sur le sujet et pourra éclairer l’élaboration ou l’évaluation de politiques et de programmes de prévention »--Résumé.
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69207|2gccst|aSanté mentale
69207|2gccst|aSuicide
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7001 |aNahwegahbow, Amy.
7102 |aStatistique Canada.
77508|tPast-year suicidal thoughts among off-reserve First Nations, Métis and Inuit adults aged 18 to 25 : |w(CaOODSP)9.823967
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