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043 |an-cn-yk
0861 |aSF31-134/11-2016F-PDF
24503|aLe fait français au Yukon |h[ressource électronique].
260 |a[Gatineau, QC?] : |bCommissariat aux langues officielles, |c[2016?].
300 |a[1] p. : |bill., graphiques, cartes
500 |aTitre de départ.
500 |aPubl. aussi en anglais sous le titre : The French presence in Yukon.
504 |aComprend des réf. bibliogr.
520 |a« En 1840, Robert Campbell a exploré l’arrière-pays du Yukon pour le compte de la Compagnie de la Baie d’Hudson avec l’aide de guides canadiens-français. En 1874, le commerçant de fourrures francophone François-Xavier Mercier a construit le poste de traite de Fort Reliance, à proximité de l’embouchure de la rivière Klondike. À l’époque de la ruée vers l’or du Klondike, à la fin du XIXe siècle, les francophones étaient déjà bien établis dans la région. Dans les années 1980, le drapeau franco-yukonnais a été adopté, et une école et une garderie ont été mises sur pied. En 1982, l’Association franco-yukonnaise a été formée. Seule école de langue française du territoire, l’école Émilie-Tremblay, qui a ouvert ses portes en 1984, a été nommée ainsi en l’honneur de l’esprit de pionnière et de la contribution à la communauté de l’une des premières femmes francophones du Québec à avoir fait le long voyage jusqu’à Dawson, au Yukon. En 1988, le Yukon a adopté la Loi sur les langues, et la Direction des services en français a été créée. En 2007, le gouvernement du Yukon a proclamé le 15 mai la Journée de la francophonie yukonnaise » -- Histoire, p. [1].
69207|2gccst|aFrancophonie
69207|2gccst|aStatistiques
69207|2gccst|aTerritoire
7101 |aCanada. |bBureau du Commissaire aux langues officielles.
77508|tThe French presence in Yukon |w(CaOODSP)9.851513
85640|qPDF|s1.10 Mo|uhttps://publications.gc.ca/collections/collection_2018/clo-ocol/SF31-134-11-2016-fra.pdf