000 04133cam  2200421zi 4500
0019.878841
003CaOODSP
00520240905095323
006m     o  d f      
007cr cn|||||||||
008190903t20212021onc     ob   f000 0 fre d
020 |a9780660324906
040 |aCaOODSP|bfre|erda|cCaOODSP
043 |an-cn---
0861 |aPS113-1/2021-2F-PDF
1001 |aBabchishin, Kelly M., |eauteur.
24510|aDébouchés économiques des délinquants sous responsabilité fédérale au Canada / |cpar Kelly M. Babchishin, Leslie-Anne Keown, et Kimberly P. Mularczyk.
264 1|aOttawa, Ontario : |bSécurité publique Canada = Public Safety Canada, |c2021.
264 4|c©2021
300 |a1 ressource en ligne (38 pages).
336 |atexte|btxt|2rdacontent/fre
337 |ainformatique|bc|2rdamedia/fre
338 |aressource en ligne|bcr|2rdacarrier/fre
4901 |aRapport de recherche ; |v2021-R002
500 |aTitre de la couverture.
500 |aPublié aussi en format HTML.
500 |aPublié aussi en anglais sous le titre : Economic outcomes of Canadian federal offenders.
504 |aComprend des références bibliographiques (pages 25-28).
5203 |a« L’emploi est un facteur clé qui aide à réduire les taux de récidive chez les personnes qui ont un casier judiciaire. La présente étude se penche sur les débouchés économiques de 11 158 délinquants sous responsabilité fédérale (Mâge en 2014 = 47 ans) admis dans un établissement du Service correctionnel du Canada entre le 4 janvier 1999 et le 31 décembre 2001 (médianeannée d’admission = 2000), qui étaient en liberté dans la collectivité depuis 14 ans en moyenne. Elle visait à nous permettre de mieux comprendre les débouchés économiques des délinquants sous responsabilité fédérale au Canada. Plus de la moitié de la cohorte de délinquants mis en liberté avait produit une déclaration de revenus (5 835 sur 11 158). Il semblerait, d’après la présente étude, que les personnes qui ont un casier judiciaire se heurtent à des obstacles considérables dans la recherche d’emploi au Canada, puisque la moitié seulement des personnes libérées des établissements fédéraux avaient décroché un emploi au bout d’une période moyenne de 14 ans. Les personnes libérées des établissements correctionnels fédéraux participent moins au marché du travail, gagnent un revenu d’emploi beaucoup plus bas, reçoivent plus de paiements d’aide sociale et produisent moins de déclarations de revenus que la population canadienne en général. En moyenne 14 ans après leur mise en liberté, la plupart des délinquants étaient sous-employés et touchaient un revenu médian de 0 $. Parmi ceux qui ont dit travailler, le revenu moyen déclaré était de 14 000 $, soit moins de la moitié des revenus d’emploi des membres de la population générale au Canada. Nous avons également constaté que les obstacles à l’obtention d’un emploi rémunérateur après l’incarcération touchaient de façon disproportionnée les femmes, les Autochtones et les personnes plus âgées, ces groupes éprouvant encore plus de difficulté que les hommes, les non-Autochtones et les jeunes ayant un casier judiciaire. La présente étude montre qu’il faudrait en faire plus pour aider les gens qui ont un casier judiciaire à décrocher un emploi rémunérateur » -- Sommaire, page 2.
650 6|aRéhabilitation|zCanada.
650 6|aCriminels|xTravail|zCanada.
650 6|aCriminels|zCanada|xConditions économiques|y21e siècle.
7101 |aCanada. |bSécurité publique Canada. |bDivision de la recherche, |eorganisme de publication.
77508|tEconomic outcomes of Canadian federal offenders / |w(CaOODSP)9.878839
830#0|aRapport de recherche (Canada. Sécurité publique Canada)|v2021-R002.|w(CaOODSP)9.817085
85640|qPDF|s1.20 Mo|uhttps://publications.gc.ca/collections/collection_2021/sp-ps/PS113-1-2021-2-fra.pdf
8564 |qHTML|sS.O.|uhttps://www.securitepublique.gc.ca/cnt/rsrcs/pblctns/2021-r002/index-fr.aspx